L’Art du paiement des prestataires

Adrien Dehelly
3 min readOct 16, 2020
Les puppies n’ont rien à voir avec les articles, mais tout le monde aime les puppies. Ici, un puppy designer new-yorkais, le célèbre concepteur du sac à main en croquettes.

Je m’appelle Adrien et j’ai fondé Royalti, une start-up qui propose aux entreprises et à leurs prestataires de se rémunérer en part de chiffre d’affaires, appelées royalties. Parce que je rencontre tous les jours des histoires extraordinaires et que mes clients sont ceux qui ont le plus d’imagination pour utiliser notre solution, j’ai décidé de vous raconter quelques-unes de nos aventures.

Si vous voulez entendre parler de moule à cuillère, de propriété intellectuelle et de banquier grognon, vous pouvez retrouver toutes ces histoires sur notre site web.

Bonjour à tous ! Normalement c’est Adrien qui prend la plume pour vous raconter les aventures de Royalti dans ces articles mais aujourd’hui j’ai décidé de le remplacer. Je suis Andrea, la co-fondatrice de Royalti. Depuis nos débuts, je gère en coulisse tout ce qui concerne le marketing, la communication ou les opérations. Comme Adrien, je passe beaucoup de temps à discuter avec nos clients. Je suis donc au premier rang pour assister à la meilleure partie du développement d’une entreprise : voir le service que nous avons imaginé résoudre les problèmes de nos clients, parfois même dans des secteurs et sous des formes que nous n’avions même pas envisagées !

J’aime toutes les formes d’art, et depuis peu, j’adore même me plonger dans l’univers artistique pour les enfants. Je côtoie donc ce monde de loin depuis une dizaine d’années maintenant. Mais je n’avais jamais pensé à y appliquer notre solution de royalties. Il m’a fallu attendre une rencontre avec Julie, au détour d’un couloir de l’incubateur Creature spécialisé dans les industries créatives et culturelles, pour découvrir un nouveau cas d’usage de nos chers royalties.

Julie a fondé la Maison Percée, une jeune entreprise qui propose au grand public des objets-oeuvres d’art, pensés par des artistes visuels émergents représentant la jeune création contemporaine. Elle travaille en collaboration avec des artisans pour la réalisation et les artistes en font leurs supports d’expression. La première collection capsule de Maison Percée s’articule ainsi autour d’un sac à main créé par l’artiste franco-japonaise Tiffany Bouelle et développé par l’Atelier de maroquinerie Féoni.

Lorsque j’ai rencontré Julie, elle était en train de parler de cette collaboration, qui est au coeur de la mission de la Maison Percée, avec les artisans et les artistes. Nous avons discuté longtemps de sa vision de l’art dans notre quotidien, de son envie de conquérir de nouveaux territoires pour les artistes et des défis que ces derniers rencontrent pour vivre de leur travail.

De mon côté je lui ai parlé des royalties, ce mode de rémunération des prestataires en parts du chiffre d’affaires effectivement réalisé. Dès le début, Julie a trouvé cette solution très naturelle : de son point de vue il s’agit de partager la valeur créée avec les artistes. Elle poursuit son objectif de collaboration sur le long terme avec eux, tout en facilitant le lancement des collections en diminuant les fonds à avancer.

Lorsque j’ai demandé à Julie de témoigner pour cet article, elle m’a expliqué que ce qui l’avait convaincu le plus était le cadre rassurant des royalties. Pour elle comme pour l’artiste il n’y aurait “ni embrouille, ni quiproquo, ni méfiance”. Chacune maîtrise le fonctionnement et les risques de leur collaboration : que la collection fonctionne très bien ou pas du tout, chacune en assumera les conséquences. La démarche de se mettre d’accord sur les conditions de versement des royalties et de contractualiser via notre plateforme a ajouté de la confiance dans leur relation. Aujourd’hui Julie projette d’étendre ce fonctionnement au lancement d’autres collections, où l’art s’installera sur des objets de design, des luminaires, des meubles ou encore des vêtements !

Voilà donc l’histoire de Julie et de Maison Percée. Vous pouvez suivre leurs productions ici ! Et si vous travaillez dans le secteur artistique n’hésitez pas à me contacter à andrea@royalti.fr. Cette expérience m’a donné très envie d’explorer davantage le potentiel des royalties auprès des artistes !

Tous nos articles ici

Disclaimer : Les clients dont nous racontons les histoires ont accepté de figurer ici, ou bien ont été anonymisé. Si vous aussi vous voulez finir dans notre rubrique, venez nous raconter vos problèmes à hello@royalti.fr

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